Les 6 types d’interaction [champignons-organismes]

Les champignons jouent un rĆ“le essentiel dans les Ć©cosystĆØmes en tant que dĆ©composeurs et recycleurs de la matiĆØre, mais ils interagissent Ć©galement avec d’autres organismes vivants. Dans cet article, nous explorerons les diffĆ©rentes interactions entre les champignons et les divers ĆŖtres vivants de leur environnement, de la symbiose Ć  la prĆ©dation, en mettant l’accent sur la dĆ©finition et des exemples pour chaque thĆØme.

Nous verrons les interactions suivantes :

  • La symbiose
  • Le mutualisme
  • Le commensalisme
  • L’amensalisme
  • Le parasitisme
  • La prĆ©dation

Pour vous expliquer les diffĆ©rentes interactions dans cet article, j’ai fait en sorte de vraiment catĆ©goriser et mettre dans des cases, les interactions, pour que vous puissiez plus facilement en comprendre l’essence.

La symbiose, interaction [+ ++]

La symbiose dĆ©crit une relation Ć©troite, durable et bĆ©nĆ©fique entre deux organismes d’espĆØces diffĆ©rentes. Dans ce type de relation, les organismes impliquĆ©s, appelĆ©s symbiontes, dĆ©veloppent gĆ©nĆ©ralement des adaptations spĆ©cifiques qui leur permettent de coexister de maniĆØre harmonieuse. Cette vie en commun est obligatoire pour au moins un des organismes impliquĆ©s.

La symbiose est interaction bƩnƩfique et obligatoire pour les deux organismes
Effet de la symbiose

Voyons maintenant quelques exemples de relations symbiotiques :

  1. Termites et champignons : En Afrique, certains termites du genre Macrotermes ont une relation symbiotique avec des champignons du genre Termitomyces, quā€™ils abritent dans leurs termitiĆØres. Les termites rĆ©coltent des dĆ©bris vĆ©gĆ©taux, les stockent dans leur terrier et les mĆ©tabolisent en nutriments pour les champignons. Les champignons produisent ensuite des corps fructifĆØres, qui sont consommĆ©s par les termites comme une source importante de nourriture. Cette relation est obligatoire seulement pour le champignon.

    Un autre exemple intĆ©ressant de symbiose : termites et champignons. En Amazonie, des termites arboricoles du genre Nasutitermes, mangent les dĆ©chets organiques de bois, et dans leur estomac se trouve des champignons du genre Pseudotrichonympha, dit endosymbiontes, qui vivent donc dans leur Ā«Ā estomacĀ Ā». Et ils vont dĆ©composer la cellulose et la lignine du bois et relĆ¢cher des nutriments que les termites vont pouvoir absorber. Dans ce cas-lĆ , la relation est obligatoire pour les deux partenaires.
  2. Champignons et algues/cyanobactĆ©ries : Les lichens sont une symbiose entre un champignon et une algue ou un champignon et une cyanobactĆ©rie. Par exemple, le lichen d’arbousier est composĆ© du champignon Arthonia radiata et de l’algue Trebouxia erici. Le champignon fournit un support et une protection pour l’algue tandis que celle-ci produit des nutriments par photosynthĆØse pour le champignon. Cette relation symbiotique est obligatoire pour les deux parties car elles ne peuvent pas survivre sans l’autre.
  3. Arbres et champignons : Les mycorhizes sont une autre forme de symbiose entre les racines des plantes et les champignons. En exemple, les arbres de la famille des Pinaceae ont des racines qui sont incapables de prĆ©lever suffisamment de nutriments dans le sol. Ils ont donc Ć©tabli une association avec les champignons mycorhiziens du genre Rhizopogon, oĆ¹ les champignons fournissent des nutriments essentiels, comme le phosphore et l’azote Ć  l’arbre, en Ć©change de sucres produits par la photosynthĆØse de cet arbre. L’association est obligatoire pour l’arbre seulement, les champignons du genre Rhizopogon peuvent ĆŖtre trouvĆ©s Ć  l’Ć©tat libre.
  4. Limaces et champignons : Dans les truffiĆØres, des limaces du genre Deroceras ont Ć©tĆ© Ć©liminĆ©es, car les producteurs les voyaient rĆ©guliĆØrement se nourrir de leur truffe. La premiĆØre annĆ©e a Ć©tĆ© extrĆŖmement productive, mais la deuxiĆØme nā€™a donnĆ© aucune truffe. Les chercheurs se sont rendus compte que les limaces mangeaient effectivement les truffes, mais en les ingĆ©rant, les spores nā€™Ć©taient pas digĆ©rĆ©es, mais dissĆ©minĆ©es dans le sol dans des excrĆ©tions fertiles.

    Jā€™aime beaucoup ce dernier exemple, car on peut se demander si finalement, ces limaces ne sont pas un organe reproducteur Ć  part entiĆØre des truffesā€¦ā€‰?
Les myciculteurs qui ont lu cet article ont aussi lu  La mycosylvicultureĀ : le verger Ć  champignons

Le mutualisme, interaction [+ +]

Le mutualisme est une interaction dans laquelle deux espĆØces diffĆ©rentes bĆ©nĆ©ficient l’une de l’autre de maniĆØre rĆ©ciproque. Dans une relation de mutualisme, les deux espĆØces coopĆØrent pour obtenir des avantages tels que la nourriture, la protection, ou la reproduction. Il permet aux espĆØces une meilleure adaptation et survie dans leur environnement commun. Les interactions mutualistes sont facultatives, car le degrĆ© de dĆ©pendance entre les deux espĆØces est plus faible que dans une symbiose.

Le mutualiste est une interaction positive pour les deux parties
Effet du mutualisme
  1. Ɖponge et champignons : Dans les mangroves, certaines espĆØces d’Ć©ponges marines ont une relation mutualiste avec des champignons. Un exemple rĆ©cent est l’association entre l’Ć©ponge Theonella swinhoei et le champignon Aspergillus sydowii. Le champignon produit des substances chimiques qui aident Ć  protĆ©ger l’Ć©ponge contre les prĆ©dateurs, tandis que l’Ć©ponge fournit un environnement favorable pour la croissance des champignons. Cette association n’est pas obligatoire, Ć  la base, Aspergillus sydowii est simplement un champignon saprophyte.
  2. Abeilles et champignons : Certaines espĆØces d’abeilles ont une relation mutualiste avec des champignons. Notamment avec les champignons de type polypore, comme le rĆ©ishi et l’amadou. Les abeilles attirĆ©es par le mycĆ©lium de ces champignons, s’en nourrissent leur permettant de diminuer les niveaux infectieux de leurs ruches de maniĆØre significative. En Ć©change, les abeilles transportent des spores de ces champignons lignivores. Si un arbre adaptĆ© est blessĆ©, notamment par les griffes de certains mammifĆØres, les abeilles peuvent aller prĆ©lever de la sĆØve juste sous l’Ć©corce et dĆ©poser quelques spores de champignons.
  3. Arbres et champignons : Les champignons endophytes forment des associations mutualistes avec les plantes en fournissant une protection contre les herbivores, les maladies et le stress environnemental en Ć©change d’un habitat et de nutriments fournis par la plante hĆ“te. Par exemple, une Ć©tude a montrĆ© que plusieurs espĆØces de champignons endophytes prĆ©sents dans les feuilles d’un arbre tropical, le margousier produisent des composĆ©s toxiques pour les chenilles de papillons, qui sont des herbivores courants de l’arbre. Ces composĆ©s sont absorbĆ©s par la plante et se transforment en insecticides naturels, offrant ainsi une dĆ©fense efficace contre ces herbivores.

Le commensalisme [+ 0]

Le commensalisme est une interaction dans laquelle une espĆØce, le commensal, bĆ©nĆ©ficie de l’autre sans lui causer de dommage ou de bĆ©nĆ©fice significatif en retour. Dans ce type de relation, une espĆØce profite de l’habitat, de la nourriture, du transport ou de la protection fournie par une autre espĆØce, sans l’affecter positivement ou nĆ©gativement.

Le commensalisme est une interaction positive pour le champignon commensale et neutre pour l'autre organisme
Effet du commensalisme
  1. BactĆ©ries et champignons : Par exemple, les champignons saprophytes du genre Pleurotus peuvent dĆ©composer la matiĆØre organique dans le sol, crĆ©ant ainsi un environnement favorable Ć  la croissance des bactĆ©ries dĆ©nitrifiantes. Les bactĆ©ries dĆ©nitrifiantes par exemple du genre Pseudomonas peuvent alors utiliser l’azote organique fourni par les champignons pour leur cycle respiratoire. Cette interaction est neutre pour les champignons et favorable pour les bactĆ©ries.
  2. Humains et champignons : La levure Candida albican est naturellement prĆ©sente dans lā€™organisme de 70 % des personnes en bonne santĆ©. La levure profite du gite et du couvert dans nos muqueuses ou notre estomac, sans causer dā€™effet nĆ©gatif ou positif. En tout cas, quand lā€™Ć©quilibre est respectĆ©. Cette interaction est neutre pour lā€™humain et positive pour le champignon.
  3. Arbres et champignons : Lorsqu’une branche meurt directement sur un arbre de type feuillu, un champignon saprophyte, Xylaria hypoxylon, peut intervenir et va venir consommer directement le bois mort de l’arbre. Ɖtant donnĆ© que Xylaria hypoxylon se nourrit de bois mort et ne s’attaque pas aux tissus vivants des arbres, il est considĆ©rĆ© comme un commensal. Il profite de la prĆ©sence de l’arbre hĆ“te mort pour se nourrir et se dĆ©velopper, sans affecter nĆ©gativement l’arbre vivant Ć  proximitĆ©. Dans cette relation, le champignon bĆ©nĆ©ficie de l’arbre mort, tandis que l’arbre vivant n’est ni avantagĆ© ni dĆ©savantagĆ©.
Les myciculteurs qui ont lu cet article ont aussi lu  Lexique pour la culture des champignons [Le Guide Ultime]

Cependant, il est important de noter que parfois le commensalisme peut parfois conduire Ć  une forme de mutualisme comme on l’a vu, ou de parasitisme, comme on le verra, en fonction des changements environnementaux ou de la relation Ć  long terme entre les espĆØces impliquĆ©es.

Lā€™amensalisme [0 -]

L’amensalisme est une forme d’interaction biologique entre deux espĆØces, dans laquelle une espĆØce est nĆ©gativement affectĆ©e par l’autre sans ĆŖtre elle-mĆŖme affectĆ©e positivement ou nĆ©gativement. Dans ce type de relation, une espĆØce Ć©met une substance toxique ou inhibitrice qui empĆŖche la croissance ou la survie d’une autre espĆØce, sans ĆŖtre elle-mĆŖme affectĆ©e par cette substance.

L'amensalisme est une interaction neutre pour un organisme et nƩgative pour l'autre.
Effet de l’amensalisme
  1. Champignons et bactĆ©ries dans le sol : Les espĆØces de Penicillium, prĆ©sentes dans le sol, produisent des substances antimicrobiennes, comme la pĆ©nicilline, qui inhibent la croissance de certaines bactĆ©ries du sol, telles que les Staphylococcus et les Streptococcus. Cette interaction est neutre pour les champignons, car la production de pĆ©nicilline ne leur procure pas de bĆ©nĆ©fice direct, mais elle est dĆ©favorable pour les bactĆ©ries qui sont inhibĆ©es.
  2. Champignons et microalgues : Les champignons du genre Pythium peuvent produire des substances toxiques qui inhibent la croissance d’algues microscopiques, comme les diatomĆ©es (Bacillariophyta), dans les zones humides oĆ¹ les deux organismes cohabitent. Les Pythium se dĆ©veloppent sur la matiĆØre organique prĆ©sente dans le sol et utilisent les nutriments disponibles, sans ĆŖtre affectĆ©s par les algues. Cette interaction est dĆ©favorable pour les diatomĆ©es, tandis que les champignons ne sont pas affectĆ©s.
  3. Champignons et mousses : Dans les forĆŖts humides et les zones ombragĆ©es oĆ¹ les mousses et les bryophytes prospĆØrent, les champignons de la famille Mucoraceae peuvent entrer en compĆ©tition avec ces organismes pour l’espace et les ressources. Les Mucoraceae, comme Mucor hiemalis, produisent des substances toxiques qui inhibent la croissance des mousses, telles que celles du genre Bryum, et d’autres bryophytes, crĆ©ant une interaction d’amensalisme. Les champignons Mucoraceae se dĆ©veloppent sur la matiĆØre organique prĆ©sente dans le sol, dĆ©composant les feuilles et les branches mortes, et utilisent les nutriments disponibles sans ĆŖtre affectĆ©s par les mousses. Cette interaction est dĆ©favorable pour les mousses, tandis que les champignons ne sont pas affectĆ©s.

Dans chaque exemple, le champignon est capable d’affecter nĆ©gativement une autre espĆØce sans en tirer de bĆ©nĆ©fice direct. L’amensalisme peut jouer un rĆ“le important dans la rĆ©gulation des communautĆ©s fongiques et la compĆ©tition pour les ressources dans les Ć©cosystĆØmes.

Le parasitisme [+ -]

Le parasitisme est une interaction biologique entre deux espĆØces, dans laquelle une espĆØce, appelĆ©e parasite, tire profit dā€™une autre espĆØce, appelĆ©e hĆ“te, au dĆ©triment de cette derniĆØre. Le parasite qui peut causer des dommages physiques, physiologiques ou comportementaux Ć  lā€™hĆ“te. Les parasites utilisent souvent leur hĆ“te comme source de nourriture ou de refuge, Les interactions parasitaires peuvent ĆŖtre obligatoires ou facultatives, selon le degrĆ© de dĆ©pendance entre les deux espĆØces.

Le parasitisme est une interaction positive pour le champignon parasite et nƩgative pour l'hƓte
Effet du parasitisme
  1. Plantes et champignons : Le champignon du genre Puccinia est un parasite qui infecte les feuilles de plantes, comme le blĆ©, en utilisant leur tissu pour se nourrir et se reproduire. Cette interaction provoque des dommages aux cultures, avec des effets nĆ©fastes pour les plantes hĆ“tes, tandis que le champignon bĆ©nĆ©ficie de la disponibilitĆ© des nutriments et de l’Ć©nergie fournie par la plante.
  2. Champignons et amphibiens : Certaines espĆØces de champignons du genre Chytridiomycota peuvent infecter la peau des amphibiens. L’infection peut provoquer la chytridiomycose, une maladie qui affecte la peau et la capacitĆ© des amphibiens Ć  respirer et Ć  rĆ©guler leur Ć©quilibre hydrique. Bien que cette infection puisse ĆŖtre fatale pour certains amphibiens, d’autres peuvent survivre et continuer Ć  vivre avec le champignon. Dans cette relation de parasitisme, le champignon tire profit de l’amphibien hĆ“te pour se nourrir et se dĆ©velopper, tandis que l’amphibien est affectĆ© nĆ©gativement, mais n’est pas nĆ©cessairement tuĆ©.
  3. Champignons et poissons : Les champignons du genre Saprolegnia peuvent infecter les poissons, provoquant des infections fongiques externes appelĆ©es saprolegniose. Les infections Ć  Saprolegnia se manifestent gĆ©nĆ©ralement par des plaques cotonneuses sur la peau, les nageoires ou les branchies des poissons. Bien que ces infections puissent causer des problĆØmes de santĆ© chez les poissons et rĆ©duire leur croissance et leur reproduction, elles ne sont pas toujours fatales. Dans cette relation de parasitisme, le champignon Saprolegnia tire profit du poisson-hĆ“te pour se nourrir et se dĆ©velopper, tandis que le poisson est affectĆ© nĆ©gativement.
Les myciculteurs qui ont lu cet article ont aussi lu  Utilisation des rafles de maĆÆs en culture des champignons

Dans chaque exemple, le champignon tire profit de l’hĆ“te, souvent au dĆ©triment de celui-ci, en utilisant son corps ou ses ressources comme source de nourriture pour sa propre croissance et reproduction.

La prĆ©dation [+ –]

La prĆ©dation est une interaction biologique entre deux espĆØces, dans laquelle une espĆØce, appelĆ©e prĆ©dateur, chasse, tue et consomme une autre espĆØce, appelĆ©e proie, pour se nourrir.

La prƩdation est une interaction positive pour le champignon prƩdateur et nƩgative pour la proie
Effet de la prƩdation

Les prĆ©dateurs ont souvent des adaptations physiques, comportementales ou physiologiques qui leur permettent de capturer et de tuer leurs proies. Les proies, pour leur part, ont souvent des adaptations qui leur permettent d’Ć©viter ou de rĆ©sister Ć  la prĆ©dation. La prĆ©dation est considĆ©rĆ©e comme une forme de compĆ©tition pour les ressources, dans laquelle les prĆ©dateurs tirent profit de la consommation de proies pour leur propre survie et reproduction.

Champignons et nĆ©matodes : Les champignons du genre Arthrobotrys sont des prĆ©dateurs d’organismes du sol, tels que les nĆ©matodes. Ils utilisent leurs filaments mycĆ©liens pour piĆ©ger et digĆ©rer les nĆ©matodes. Dans cette interaction, les champignons Arthrobotrys bĆ©nĆ©ficient de l’apport en nutriments provenant des nĆ©matodes, tandis que les nĆ©matodes sont tuĆ©s.

Champignons et insectes : Les champignons de la famille Cordyceps infectent et tuent les insectes et les arthropodes, tels que les fourmis, les sauterelles ou les araignĆ©es. Le champignon se nourrit de l’hĆ“te en utilisant son corps comme source de nutriments pour sa croissance et sa reproduction. Dans cette interaction, les champignons Cordyceps bĆ©nĆ©ficient de l’insecte hĆ“te, tandis que l’insecte finit par ĆŖtre tuĆ©.

Champignons et champignons : Les champignons du genre Trichoderma sont des microphages, notamment des champignons de culture. Ils colonisent les substrats de culture et se nourrissent des hyphes de champignons, rƩduisant peu Ơ peu leur densitƩ dans le substrat. Dans cette interaction, les champignons Trichoderma bƩnƩficient de la consommation des hyphes des champignons de culture, tandis que les champignons de culture meurent.

Dans chaque exemple, le champignon agit en tant que prĆ©dateur, chassant, tuant et consommant d’autres organismes pour se nourrir. Les interactions de prĆ©dation peuvent avoir des impacts significatifs sur les communautĆ©s fongiques et les Ć©cosystĆØmes, influenƧant la dynamique des populations et les relations de compĆ©tition pour les ressources.

Conclusion

Les interactions entre les champignons et d’autres organismes sont complexes et variĆ©es. N’oubliez pas qu’elles ne rentrent pas si facilement dans des cases et que les relations peuvent glisser d’une dynamique Ć  une autre en fonction des Ć©quilibres en jeu.

Mais en comprenant ces relations, nous pouvons mieux apprĆ©hender le rĆ“le crucial des champignons dans les Ć©cosystĆØmes et la faƧon dont ils contribuent Ć  l’Ć©quilibre et Ć  la biodiversitĆ© de notre environnement. La culture des champignons peut Ć©galement bĆ©nĆ©ficier de cette comprĆ©hension, car elle nous permet d’optimiser les conditions de croissance et d’amĆ©liorer la qualitĆ© de la culture.

Si vous aussi vous souhaitez crĆ©er une relation symbiotique avec les champignons, sachez que vous pouvez les cultiverā€‰! šŸ™‚

Merci d’avoir lu cet article. Si vous avez des remarques ou des questions sur les interactions entre champignons et organismes, n’hĆ©sitez pas Ć  nous laisser un commentaire :).

Si vous avez aprĆ©ciĆ© mon article vous ĆŖtes libre de le partager!

Laisser un commentaire